La Communication Non Violente … pour soi-même.

Qu’est-ce que la Communication Non Violente ?

La Communication Non Violente (CNV), est une façon d’entrer en relation entre deux êtres, mise en place par Marshall B. Rosenberg. Elle se base sur le principe que tous les êtres Humains sont animés par les mêmes besoins, eux-mêmes exprimés par des émotions.

Les émotions

Les émotions sont classées en 4 catégories : la peur, la tristesse, la colère et la joie. Ces émotions sont centrées sur moi, j’en suis l’unique responsable. Elles sont là uniquement pour me dire qu’un de mes besoins est rempli ou pas. Ces émotions peuvent être ressenties dans le corps. Je parle alors de tension, de chaleur, de douleur, de tiraillement, de papillons…etc.

Les besoins

Un besoin en communication non violente est quelque chose d’universel, vrai pour chaque être humain, et complètement légitime. Il est indépendant d’une personne, d’une action ou d’un objet. Il a besoin d’être reconnu, pleinement, plus que d’être nourri.

Faux besoins : « j’ai besoin de toi », « j’ai besoin d’argent », « j’ai besoin de chocolat ».

Vrais besoins : « j’ai besoin d’empathie », « j’ai besoin d’une alimentation », « j’ai besoin de liberté ».

Voici une liste non exhaustive d’émotions et de besoins appelée  » Le Sentimètre de Jean-Luc Sost « 

Le processus de Communication Non Violente : OSBD

O pour Observation

S pour Sentiment (émotion)

B pour Besoin

D pour Demande

L’observation est un fait, que je peux exprimer objectivement.

Exemple : « Le chien a fait besoin par terre dans le salon. »

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Les bonhommes allumettes

Il vous est peut-être déjà arrivé, au coin d’une conversation d’entendre l’allusion à cette technique des bonhommes allumettes. C’est un mot que l’on se passe depuis une dizaine d’années, au gré des rencontres et des ateliers de développement personnel.

Des petits bouts de papiers griffonnés, flanqués de deux bonhommes aux allures de dessin enfantin.

Discrète, cette technique ne se vend pas, elle se transmet.

Elle est également aussi simple que profonde ce qui la rend très facile d’application.

Pour la définir rapidement, nous pourrions dire qu’il s’agit d’un exercice de dessin simple et symbolique que notre subconscient interprétera comme un lâcher-prise. Ceci afin de mieux vivre nos relations directes et nos situations de vie sources de sensations ou émotions désagréables.

Pour en savoir plus, nous avons découvert la vidéo gratuite Youtube de Jacques Martel (l’auteur du « Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies »). Elle est très claire et suffit à des premières mises en pratique.

 » Mais pourquoi faire un dessin ? Je peux le faire en conscience en fermant les yeux, n’est-ce pas l’intention qui compte ? » La réponse est claire : non.

L’exercice est spécifiquement efficace si on le fait par écrit, quel que soit le support. Un post-it, un dos de ticket de supermarché fera l’affaire ! De manière générale, quand nous écrivons ou dessinons, notre subconscient intègre l’information à 90% et participe ensuite à manifester ce que nous souhaitons. A vos crayons !

Il est donc primordial de dessiner les 7 étapes, et dans l’ordre.

La technique des petits bonhommes allumettes n’est pas de la magie blanche mais bien une communication entre notre conscience et notre subconscient.

Nous allons expérimenter ensemble les étapes et vous serez étonnés de voir ce que cette méthode peut vous apporter.

L’etape 1 : se dessiner.

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